La Tour Des Griffons
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
DISCORD
Le Deal du moment : -14%
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 ...
Voir le deal
799 €

[Paris by night] Valenteen et William

Aller en bas

[Paris by night] Valenteen et William Empty [Paris by night] Valenteen et William

Message  Thermador Mer 8 Juin 2011 - 11:34


Vie Mortelle :


Le vrai nom de Valenteen est Cécile Legaret.

La vie mortelle de Cécile a été baignée de luxe. Elle est comme cela se dit beaucoup, née avec une cuiller en argent dans la bouche. Malgré cela, son existence ne fut pas pour autant d’une facilité sans faille.

Née en 1975, sa vie commence déjà sous l’égide de la mort puisque ça mère décède en couche.

Son père, Jean, ne s’en remettra pas. Même s’il était déjà au crépuscule de sa vie, cette perte accéléra (tout au moins tel que ses proches le disent) la déchéance de l’homme. Certains disent même qu’en mourant, en Janvier 1976, il maudît le jour de la naissance de sa cadette.

Cependant, si ce décès constitua une nouvelle épreuve dans la tendre enfance de Cécile, l’enfant n’en sembla plus affectée que cela, comme si la mort devait être partie intégrante de son destin.

Elle fut alors confiée à la garde de son demi-frère Aîné (né d’une première union), Jean François, lui-même père d’une petite Camille.
La tradition politique de la famille ainsi que la fortune de Sophie, sa belle-sœur, lui assurèrent une existence matérielle substantielle. En effet, son père avait été Ministre, Député, Sénateur, membre du Conseil Municipal de Paris, mais également écrivain à succès (sic). Jean-François reprit le flambeau en devenant à son tour Conseiller Régional, puis Maire du Ier arrondissement de Paris poste qu'il occupe encore en 2002 (oui, oui, c'est vrai^^).
Le clan Legaret était propriétaire d’un grand nombre de logements sur Paris et ses alentours, Mais c’est dans le très chic XVIème arrondissement que Jean-François et le reste de la famille passent leur vie.

Rapidement, Cécile se montre une enfant extrêmement capricieuse. Jean-François, pour ne pas froisser ou blesser plus cette enfant déjà si marquée, lui cède à peu près tout.

La thérapie que suivait l’enfant n’était que peu bénéfique, son seul exutoire se situant dans le dessin, où elle parvenait à exprimer ses souffrances intérieures, avec un talent profond. Son psychiatre, le Dr Sarda, conseilla ainsi à Jean François d’envoyer la jeune fille aux beaux arts.

La chose fut faite dès Septembre 1981 et Cécile se montra assidue et talentueuse. La compagnie des autres jeunes artistes rendit la jeune fille plus sociable, et elle s’ouvrit un peu plus au monde & plus encore à Camille avec qui elle noua des liens très forts.

En Septembre 1986, elle intègre le prestigieux Collège/Lycée Charlemagne, et y suivra le cursus complet, puis rentra en Sciences Po. En parallèle, elle continue à dessiner, peindre & sculpter, toujours dans un univers très sombre. En 1998, à peine sortie de l’école, elle plaque tout ce pourquoi elle a été formée pour intégrer un groupe d’artistes Dark / Underground Parisiens.

La grande colère de Jean-François n’y fit rien, ni ses menaces de lui couper les vivres. L’ultime caprice de Cécile envers son frère fut une fois de plus couronné de succès. De toute façon, l’héritage qui était le sien lui permettrait (disait elle) de vivre assez largement. Et puis, « les réunions avec tes tarés de l’UMP qui pensent qu’à leur thunes, ça me fait carrément gerber quoi ! regarde la life en face Jeff’, t’es trop aware pour te rendre compte qu’il y a des gens qui crèvent la dalle ! Merde quoi !». Sur ces mots, elle sortit de la vie de Jean-François et les deux frères & sœur ne se parlèrent plus.

Camille fut encore plus attristée de la nouvelle, mais devant le veto de Jean-François, fût contrainte de ne plus voir celle qu’elle considérait comme sa sœur plus que comme sa tante. Son père la destinait à reprendre le flambeau familial à la tête du CNI, comme l’avait fait son grand père avant elle, ce qui fut fait en 1999.

Cécile, elle, vécut enfin de sa passion, dans un monde nocturne, et céda à tous les vices, drogues, alcool, sexe. Elle était tout aussi capricieuse avec ses invités qu’elle le fût avec son frère, et cela fonctionnait tout autant.
Son appartement du IVème arrondissement devint une place d’orgies gothico-artistiques, attirant sans arrêt de nouvelles personnes & personnalités, mais un groupe très restreint d’habitués se fixa, et le bal dura jusqu’en 2001, où Cécile n’eut plus comme invités que ce groupe de quatre habitués.

Comme elle l’avait annoncé à son frère, son existence matérielle se portait bien puisque ses œuvres, peu grâce à son nom car elle signait « Valenteen » (bien que les acheteurs connussent son vrai nom), mais surtout grâce à ses nouveaux amis proches, lui assuraient des revenus corrects.

Mais bientôt, ses « amis » lui demandèrent de venir vivre avec eux à Reims, chose qu’inconsciemment, elle ne put leur refuser. C’est alors que sa vie bascula...

L'Etreinte:

Une fois arrivée à Reims, tout changea.

Elle commença par apprendre la véritable nature de Justine, sa « bonne amie ». Pour quoi elle semblait avoir toujours avoir 18 ans alors qu’elle en avait 156. Pourquoi elle ne s’éveillait qu’à la nuit tombée. Comme cette dernière l’avait pressentie, Cécile ne fut pas surprise de cette révélation.

La mort avait toujours fait partie de son existence, et le conditionnement dont elle fut l’objet n’y fut pas étranger non plus.

Les semaines qui suivirent ne furent que discussions et formation, Justine distillant information sur information à jeune élève, qui buvait les paroles et assimilait le moindre des détails fournis. Le comportement de Cécile changea, et même s’il était évident que sa nature pouvait ressortir à n’importe quel moment, elle se montre plus académique dans son langage et ses faits. Car tel était le souhait de Justine.

Le choc fut grand lorsque Justine livra les détails de la mort de son père à Cécile qui s’en trouva totalement abattue.

« Ma chère, il faut que vous sachiez la vérité, vous n’êtes pas la cause de la mort de Jean, votre père. »
« Je n’en ai pas le moindre doute, c’est la perte de sa femme qui l’a détruit ! »

Le ton de Justine se fit condescendant : « Mais vous êtes complètement à côté ma Chérie. Votre père faisait partie du jeu, notre jeu. Cependant, il faut que vous sachiez que certains de notre espèce, bien qu’ils soient des marginaux de la pire espèce, ne respectent pas les règles. Et Jean fut malheureusement une victime collatérale. »
« Quoi ? C’est impossible, mon père n’était pas… »
« Votre père,
dit Justine d’un ton ferme et très interruptif, n’était pas un Caïnite, non. Cependant, il a fait le jeu de nos intérêts, et un clan dégénéré, les Tzimices, ont bien compris qu’il était dans le leur de le voir disparaître, définitivement. Il est hélas trop tard, mais vous n’y pourrez rien. »

Toute la semaine suivante fut lourde de silence, et Cécile préféra se cloîtrer pour peindre sa douleur et sa tristesse. Au 5ème jour, Gisbert, l’un des « valets » de Justine, vint prévenir Cécile : « Dame Justine requiert votre présence ce soir. A Vingt et une heure, précise, soyez en son salon ».

Ce 21 Mai 2001 signa le début de la non-vie de Cécile :

« Très chère Ange, asseyez vous, annonça voluptueusement Justine, dans ballet de bras savamment exécuté. Nous avons … »
Cette fois, c’est Cécile qui coupa net : « Je veux être des vôtres, je suis prête. Je vengerai mon père, et détruirait tous ces maudits Tzimics ».
« Tzimices ma chérie. Vois-tu ce n’est pas si simple. C’est évident que tu seras l’une des nôtres, une (… nom du clan que vous ne saurez pas Razz) . Mais pour cela, il m’a fallu m’entretenir avec le Marquis, Mais Villon, cet idiot, ne voulait pas que… »
« Qui ça? »
« François Vilon, le Prince de Paris, mon Ange, le Prince. Il ne voulait pas que tu deviennes mon infante, il voyait cela d’un mauvais œil. Mais il a finalement accepté. »
« Okay, allons y alors ! »
tança froidement Cécile, dénudant son coup de sa longue chevelure brune.
« Ne soit pas pressée Cécile. Tu sais tout ce à quoi tu va renoncer ? Tu connais l’existence que nous menons ? Tout cela ne sera pas trop difficile, es-tu sûre de toi ? »
« Totalement, absolument cer-taine ».
« Bien quoi qu’il en soit, Villon a accédé à ma requête. Tu es surveillée depuis longtemps Chérie, pour ainsi dire, depuis … »
Justine laissa s’envoler un cercle de fumée bleutée de sa bouche, puis virevolter son bras tenant sa JPS noire tout en faisant onduler sa chevelure blonde. « la mort de ton père. Nous t’avons suivi, parfois guidée. »
« Et ? »
« Et Villon accepte que je fasse de toi mon infante, mais te souhaite en sa cour, à ceci près que je ne souhaite pas te livrer en pâture aux lions, mon Ange. Tu resteras près de moi jusqu’à la fin de l’année. »


Justine et Cécile sentirent mutuellement que l’heure était arrivée. La jeune femme écrasa sa Marlboro dans le cedrier de marbre, tendit le coup, puis Justine lui fit connaitre, l’extase, le baiser de sang, l’étreinte.

Une nouvelle non- vie commençait pour Cécile, ou plutôt Valenteen.

Non vie :

Valenteen s’éveilla dans la douce pénombre de ce 22 mai 2001. Elle avait soif, le sang l’appelait. Cette sensation nouvelle était pour elle quelque chose de tout à fait saisissant.

En sire bienfaisant, Justine avait déjà prévu un calice pour aider son infante à se sustenter.

Les gestes de la toute nouvelle (nom du clan) furent un peu hésitants. Mais le séduisant hidalgo, belle poupée de sang, guida Valenteen.

Le gout du sang frais la faisait frissonner, plus qu’un shoot, plus qu’un orgasme. Quelle délectation ! Elle semblait ne plus pouvoir s’arrêter.

C’est la que Justine intervint, repoussant le corps de son infante avec une force, une puissance et une vitesse incroyable. « Cela suffit. Ne soit pas trop gourmande. Je croyais que tu avais compris les règles ! On ne tue pas, on ne prend que le nécessaire ! »
« Mais j’ai faim ! »
« Non, c’est de la gourmandise, cesse tes enfantillages et laisse Rodrigue tranquille. »
La voix et les yeux de Justine dégageaient une telle autorité que Valenteen ne put faire autrement que l’écouter.
« Bien, maintenant que tu es rassasiée, étudions et travaillons. Tu ne crois tout de même pas que tu pourras atteindre ton but en un claquement de doigt ! Avant de rejoindre La Ville Lumière, je dois te préparer. Là bas, rien n’est simple, tu n'y trouveras que peu d’amis. Alors, il nous reste quelques mois pour nous préparer, pour te préparer ! »

Les nuits, les semaines qui suivirent permirent à Justine de progresser très vite sur le plan des talents que lui enseignaient Justine, elle se montra assidue. Rapidement, elle attint le maximum que Justine put lui apprendre.

« Ma belle ange, tu grandis si vite ! il y a un mois, tu n’étais qu’un oisillon balbutiant, et aujourd’hui, tu pourrais voler seule, quel plaisir charmant ! » Justine faisaient toujours les même arabesques avec sa JPS, toujours si gracieuse. « Il est temps de passer à la seconde étape de ta préparation ! »
« Quelle seconde étape ? »
« Et bien, si tu veux rejoindre Paris dans de bonnes conditions, tu te dois d’y connaitre des hommes importants, et je crois qu’il y a là bas ton demi-frère, n’est-ce pas ? »
« Nous ne nous parlons plus lui et moi, depuis trois ans ! »
« La belle occasion ! Invite le, lui et ta charmante nièce ! »
« Tu ne comptes tout de même pas en faire des Caïnites ? »
« Non, ma Chérie ! »
dit Justine en esquissant un sourire « Mais, ils pourront t’être très utiles à l’avenir ! Appelle Jean François, montre lui comme tu as changé, dans le bon sens du terme bien sûr ! Sois courtoise, tout se passera bien. Et puis, tu pourras exercer tes nouveaux talents en condition réelle… »

En l’espace de plusieurs semaines, Jean François, Camille et Sophie se rendirent souvent à Reims, trouvant la nouvelle vie de « Cécile » tout à fait convenable, et trouvant même la jeune femme tout à fait incroyable…

A la fin d’Aout, la famille Legaret était soumise à la volonté de la néonate, et son retour à Paris était de plus en plus proche. Valenteen pria son frère de réaménager l’appartement du IVème selon ses nouveaux besoins, ce qui fut fait. Elle réclama des « amis » pour ses longues soirées, ils seraient là.

« Ma belle, que je suis fière de toi. Tu es ma première infante, mais quelle réussite ! » Justine était enjouée, tournait et virevoltait dans le salon du manoir Rémois. Elle emmena Valenteen dans ses bras, tournant toujours. « Tu es prête ! » La voix se fit sombre, et puissante à la fois, tout en gardant sa douceur originelle « Trois mois, trois mois pour finaliser ton retour pour que tout soit prêt. Mais n’oublie pas les règles, surtout n’oublie pas. Ou bien Villon te réduira en cendres. »

28 Décembre, les premiers flocons tombaient sur la cathédrale. Les deux vampires sortaient de la dernière soirée rémoise pour Cécile.

Demain elle pourrait partir, tout était prêt. Demain.

« N’oublie pas mon Ange, ressens les choses, et ne faillis pas. Tu plairas beaucoup à Villon. Prends ceci » s’étouffa Justine en tendant une petite bourse à son infante « Tu le donneras à Villon, c’est ton présent d’arrivée à Paris »….

Image:

[Paris by night] Valenteen et William Images?q=tbn:ANd9GcRB6U0oUO2z8V0mB_oiCnYnttSCgWYFR9F_ERZ0B7QmAvxjHrtIWQ&t=1

Gothique soft à tendence très légèrement baroque, 25 ans d'apparence.

pour le reste, ça se passera en MP... Frout' j'ai déjà fait la fiche, je te ferai parvenir ça^^ tu me diras si ça passe!



______________________________________________________________________________________________________




« Chicago, 20 Juin 1999

Cher ami,

C’est une tragédie. La Mascarade pourrait tomber. Chicago est à feu et à sang. Cela nous arrange pourtant, pour dire vrai.
Ce pantin de Lodin étant tombé, les affaires vont se compliquer quelques temps, mais nous arriverons à nos fins assez rapidement.
Retrouvons nous cette nuit à 2h00 précises. Vous savez où me trouver, et il est plus que temps que nous évoquions l’avenir.
Votre ami,
Critias.
»

En lisant ces quelques mots sur l’écran de son Mac, William se prépara. Depuis quelques semaines, la vie dans l’Illinois était plus que dangereuse. Depuis la mort Ultime du Prince, la chaos s’était installé. Les Anarchs surgissaient de nulle part, les monstres de chair des Tzimices se multipliaient. Mais là n’était pas le plus dur. Les Lupins envahissaient les rues.
Il fallait, et Critias avait raison sur ce point, reprendre la ville.
Il avait trois heures devant lui. C’était plus qu’assez pour détruire quelques immondices du Sabbat …
(…)
Les membres volaient, la vitae coulait. La bande de nouveaux nés n’avait pas fait le poids. Le Brujah était trop rapide, trop fort. Et le moindre de ses coups enfonçait les côtes de ses adversaires.

(…)
« Juste le temps de prendre une douche » , se dit-il. « Ces pourritures m’ont dégueulassé, il va falloir que je grouille un peu ».
William enfourcha son twin italien, et s’en retourna dans son appartement. La douche fut salutaire. Puis il vêtit, smart, Critias détestait l’inélégance. 15 Minutes plus tard, il se trouvait devant la résidence de son ami.
(…)
« Tu n’es pas en retard, c’est parfait. J’apprécie la ponctualité »
« Merci. J’ai pourtant eu à me débarrasser de cinq Médiocres vermines. Mais bon, il n’y avait pas de quoi se stresser. De quoi voulais-tu m’entretenir, mon ami ? »
« Je vais être franc. Nous avons réussi à faire comprendre aux poseurs que tu ne pouvais pas éviter la mort de Lodin. Les rats d’égouts, les fous et notre clan se fichent éperduement de sa déchéance. Mais les Ventrues, eux veulent ta peau. »
« Tiens donc ! »
« Pour eux, il est évident qu’un préfet est aussi là pour protéger son Prince, et ils pensent que tu as failli. Et que tu dois payer. »
« En voilà une bonne »
« Ne les sous estime pas, William. Tu as la force et l’intelligence certes, mais eux ont le pouvoir. Tu dois partir. Tu dois quitter les Etats Unis. Tu iras à Paris»
« Hors de question, je ne … »
« Si ». La voix du brujah se fit intense et William ne put qu’acquiescer. « Tu vas partir. Nous gèrerons tes affaires, bien sûr, et veillerons sur tes intérêts. Tu recevras chaque semaine une rente par virement. Tu ne manqueras de rien. Je t’ai déjà choisi un logement. Tu y seras bien. »
« Mais pourquoi ne pas leur faire front ? »
« En partant à Paris, tu vas découvrir un autre monde. Celui de François Villon. C’est un esthète un peu excentrique qui régente toute la France. Mais lui se fiche complètement de se qui se passe chez nous. Cela nous laissera de régler les en cours. »
« Soit, s’il le faut »
« Bien, donne-moi tes clefs. J’envoie les serviteurs chercher tes affaires. Nous finalisons ton départ pour demain. C’est précipité, mais c’est mieux. Tu partiras en Avion, 7h de vol. Une fois à Roissy, un Taxi t’attendra. Il sera 23h à Paris. Ta destination est connue du Chauffeur. »
William regarda douloureusement son verre de sang…

Le lendemain, il était à Paris.
Tout ce qu’il devait faire, il le trouverait dans ce luxueux appartement du 5ème, près de la Sorbonne.
Dans le secrétaire, un courrier, avec les indications de Critias, se terminant sur ces quelques mots :

« Montre toi différent. Car ici, tout l’est. A bientôt »

Critias avait aussi pris soin de préciser au Brujah que Villon était très attentif à toute forme de présent qu'un vampire pourrait lui faire. Le prince étant un amateur d'art et poète dans sa vie mortelle, Critias donna à William un exemplaire original, et d'époque, des fables d'Esope. Celles-ci raviraient sans nul doute Villon.

Cependant, avant d'aller se présenter au Prince, Critias lui avait également demandé de rester plusieurs semaines dans son refuge, cherchant l'introspection, cherchant à dominer ses pulsions. Apprendre, progresser, telle était la clé.

But:

Conquérir un statut à Paris.


Dernière édition par Thermador le Mer 8 Juin 2011 - 14:56, édité 1 fois
Thermador
Thermador
Admin

Messages : 1248
Date d'inscription : 28/02/2011

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum