[Paris By night] Leonard D Donace et Conrad (perso de Sous)

Léonard D Donace
Néonate.

Vie mortelle : Etudiant en Histoire, cette bonne âme a mainte fois croisé et sur croisé des documents historique, au point de se donner des doutes sur la véracité de certains faits historiques. Vrai rat de bibliothèque, sa soif de savoir le mena régulièrement dans des culs de sac (fermés à double tour) dans la bibliothèque nationale de Paris. Frustré de ces non découverts et avide de divulguer la vérité, il atteint ses objectifs en se faisant engager dans un journal underground prônant la théorie du complot. Vain alors la période de rébellion de la jeunesse doré (oui Mai 68) une vrai aubaine pour entrer dans les lieus interdits, ce qu’il fit, mais sans résultat (allez savoir pourquoi). A la fin des études de lettres et ayant obtenu un diplôme (avec une spécialisation en restauration de manuscrit) il se lança dans une école de journalisme et devint journaliste international.
Travaillant à l’AFP et étant journaliste de guerre il couvrit la majorité des conflits internationaux. Régulièrement pris en otage, aussi bien par les Farc, que des islamistes, en passant par l’IRA et le FLNC. Il couvrit également la guerre du Kosovo et le conflit Nord Coréen. Notre cher ami commença à tisser des liens étrangement surréalistes avec ces diverses factions. Son photographe et ami de toujours, le suivi dans toutes ces galères sans jamais se lasser (étrangement). Cela l’amusait de bien des manières, il était fan des situation dans lesquelles Léonard se mettait et la façon ingénieuse qu’il pouvait trouver de s’échapper.

Etreinte :Cependant, un jour de prise d’otages (comme à son habitude), mais cette fois si dans un pays un peu particulier (la bande de Gaza), une chose ne tourna pas rond.
Les séances de torture et d’interrogatoire s’enchaînaient, et comme à son habitude, faisant fi de la douleur (depuis le temps certains nerfs c’étaient atrophiés), Léonard pris conscience d’un fait étrange : il en avais un peu marre et se dit que se serai la dernière fois, puisque la torture ne lui apportait aucun mérite dans sa profession! Tout en conversation avec lui-même il commença à se libérer de ses liens (en même temps après avoir tout lu sur Houdini il pouvait bien y arriver).
Mais soudain une personne entra dans la pièce. Il avait un accoutrement qui ne collait pas avec le reste. Un chevalier jedi (côté sombre de la force bien sur) fut sa première impression, c’est après qu’il déchanta….
« AHHH, voila mon repas »Léonard interloqué attendait tout sauf cette réplique, habituellement c’est « tu vas souffrir chien d’infidèle », ou « tu vas couiner sale fouineur de colabo » ou « mon record de temps de torture c’est sur toi que je vais le faire » mais là ….
« bon allez a table ! »D’un coup l’homme s’arrêta : la porte parti en éclat et un homme entra. Bizarrement celui la ressemblais à Greedo
« Dégage, il est à moi celui la ! »Et c’est ainsi que commença une bataille surréaliste entre le jedi noir et le type a tête de roswel, la bataille faisait rage et aucun ne réussissait à dominer l’autre. Des os se brisaient et se reformaient, des tentacules apparaissaient de nulle part.
« Putain sacré effet spéciaux pour de la torture mais c’est pas terrible comme préliminaire »
« Ta gueule la viande, on t’a pas sonné … ! » dirent t’ils en coeur
C’est alors qu’entra mon pote photographe, qui avait manifestement réussi a se libérer avant moi ce coup ci :
« Quoi ils n’ont pas encore fini de s’étriper c’est deux la, … bon allez voir en Afghanistan si j’y suis … ! »Chose encore plus étrange, ils sortirent et ne réapparurent pas. En même temps, j’avais moi-même une envie folle d’aller en Afghanistan d’un seul coup…
« PFFFF, tu viens délivrer un message et tu te retrouves à devoir les envoyer à « wala » pour avoir la paix, pas terrible la compréhension des bouzeux du coin ils ont vraiment un grain. Bon ils t’ont dit quoi les deux paires de canines ambulantes ?"« Bahhh, qu’ils allaient me bouffer…pourquoi ?
« ha ouais, et tu as vu quoi ?« un remake d’entretien avec un vampire dans un univers de star wars mais en 3D »
« Pas mal, bon tu es détaché, on a pas tout la journée ! »« Tu me connais, j’allais faire du pop corn avant qu’il commence à se battre »
« Ce qui m’ennui c’est que tu ne devais pas voir les deux clampins et encore moins assister a leurs engueulade … et ça ne te choques pas plus que sa ?« Bah non, j’ai toujours des cachets pour des situations comme ça : antidépresseur avant interrogatoire et antidouleur après. J’ai le sommeil léger tu sais. »
« Mouahhhhhahahah, je sens que tu vas bien plaire à mon sir toi, bon ce n’est pas tout : on n’a pas que sa a faire, on rentre a Paris »« et mon reportage alors…. ? »
« On l’a fini depuis 2 jours et c’est déjà envoyé, y en a marre de ta manie de te faire prendre en otage a chaque reportage…. T’en tiens vraiment une couche ! Mais bon ça fait bien marré mon sir à chaque fois »« ouai je force un peu trop sur les cachetons en se moment ! C’est qui ce Sir dont tu parles ? »
« Ah … au fait tu as pris tes antidouleurs ? nan ? c’est que j’ai la morsure un peu douloureuse mon pote… »« Quoi??? » (Et voila comment on fini dans les vapes apres un gros bisous dans le cou de son meilleur collègue)

Non vie :
De retour à Paris (Lille plus exactement, mais Léonard ne le savait pas encore) :
« Léonard … Léonard on se réveille … bon tu te réveilles ou j’appelle un Brujah pour te tataner. »(se réveille) « Hein… quoi … un Bruquoi »
« Allez viens je te présente le Boss, tu vas voir un vrai timbré … et poses pas de questions si tu en as, c’est pas maintenant mais après que tu les poseras… et c’est pas une interview. »(Dégueule) « J’ai mangé quoi … et c’est quoi cette envie de sang ?? »
« Ta gueule et laisse moi faire »L’entrevue avec le primogène se passa sans pas moins de 15 baffes pour faire taire Léonard (oui les habitudes sont difficiles à quitter quand on est journaliste) et Léonard fut aussi accepté temporairement et avec obligation de faire ces preuves. Il pu avoir accès aux archives du clan et s’enterra sous une quantité astronomique de livres.
Plusieurs mois plus tard, on l’envoyait à Paris, il n’avait pas fini de faire ces preuves, mais commençait a devenir socialement acceptable, il était temps.

Image :A venir

Conseils d’interprétation :Ca va quand même pas tres bien

Préoccupations actuelles :Bibliques